Alors que les travaux sont sur le point de s’achever, elle va démarrer demain pour un mois. Cette seconde enquête intervient suite à l’annulation de l’arrêté d’exploitation par le tribunal administratif de Poitiers en mars dernier. Au motif que le nom du futur exploitant n’était pas connu au moment de la signature. Ce qui est pourtant obligatoire. Le Syndicat intercommunautaire du littoral a fait appel du jugement, mais a relancé par précaution la demande d’autorisation. D’où cette nouvelle enquête publique.