Le nombre sans cesse grandissant de sangliers sur le territoire de l’île provoque de graves dommages aux agriculteurs locaux. En cause, le faible taux de prélèvement accordé aux associations de chasse par la préfecture, mais aussi le nombre important de friches sur tout le territoire. Principalement aux abords des zones urbaines qui offrent des refuges aux sangliers. 160 friches ont ainsi été répertoriées comme zone prioritaire d’intervention urgente, comme l’explique Pascal Massicot, président de la Communauté de communes de l’île d’Oléron :

En cas de non respect de ces directives, les propriétaires seront mis en demeure de réaliser les défrichages. S’ils n’obtempèrent pas, les services de la CDC procéderont au débroussaillage qui sera ensuite facturé au propriétaire.