Incinérateur d’Echillais : Mickaël Vallet comprend la décision du préfet

L’incinérateur d’Echillais peut désormais brûler. L’outil à 90 millions d’euros vient de recevoir l’aval du préfet, malgré une décision de justice et une forte opposition. Néanmoins, avec une interdiction majeure concernant le tri mécano-biologique qui devait permettre de produire du compost à partir d’ordures ménagères résiduelles. Le nouvel incinérateur d’Echillais peut donc désormais recevoir les déchets de Rochefort, Royan, Marennes, Oléron et Gémozac. Une décision que comprend le président de la Communauté de communes du bassin de Marennes et maire de Marennes Mickaël Vallet :

Rappelons que si l’exploitation de l’incinérateur a été validée, le nouvel arrêté interdit néanmoins à compter du 1er janvier 2025 la réception d’ordures ménagères provenant de collectivités qui n’auraient pas mis en place la collecte sélective de bio-déchets. Ce qui n’est pour l’heure le cas d’aucune collectivité concernée.
De leur côté, les opposants ne comptent pas en rester là. Ils vont déposer un recours contre le nouvel arrêté préfectoral, et une plainte au tribunal de grande instance de La Rochelle pour mise en danger de la vie d’autrui.

Retour à la semaine de quatre jours dans les écoles de Tonnay-Charente

Hier soir, le conseil municipal, qui examinait la question de l’organisation des rythmes scolaires, s’est prononcé à une très forte majorité pour l’abandon de la semaine de quatre jours et demi à la rentrée prochaine, et des temps d’activités périscolaires par la même occasion. Une décision à la fois économique et éducative que ne partage pas du tout la conseillère municipale d’opposition Florence Jadot, la seule à avoir voté contre :

A savoir la question de l’intérêt de l’enfant, au profit d’une certaine logique économique.

Première année réussie pour l’Union des Clubs d’entreprises Aunis Atlantique

La fusion du Club Aunis entreprendre et du Club d’entreprises du Pays marandais a porté ses fruits. De nombreuses actions ont vu le jour en 2017, et plusieurs sont en préparation pour 2018 : des conférences, des visites d’entreprises et la promotion du « Consommez local ». L’autre préoccupation de l’UC2A, c’est la capacité du territoire à se mobiliser pour aider les entreprises à se développer localement. Son président Eric Fraire lance un appel aux élus :

La Communauté de communes Aunis Atlantique s’est déjà engagée à participer au développement du club, qui compte à ce jour 51 adhérents.