A Royan, le désamorçage de la bombe, découverte la semaine dernière chez un particulier du quartier de Foncillon, aura bien lieu finalement à la fin des vacances de Pâques. La mairie a adressé un communiqué hier pour confirmer la date du vendredi 20 mars. L’opération, qui va durer de 7h à 14h, sera assurée par une équipe des démineurs de La Rochelle. Une zone d’évacuation a été déterminée, dans un rayon de 270 mètres. Les rues seront interdites d’accès. Le missile datant de la Seconde Guerre mondiale est imposant et pèse 250kg. Toutes les précautions seront prises pour neutraliser l’engin sur place, puis le faire exploser hors de la ville.

Pendant quinze jours, 132 secouristes, qui ont été recrutés pour assurer la surveillance des plages cet été, vont suivre des cours afin de parfaire leurs compétences. Des cours à la fois théoriques et pratiques. A la fin, ils seront capables d’assurer leurs missions sur les différentes zones de baignade, entre La Tremblade et Meschers-sur-Gironde. Frédéric Le Roux :

A noter que la surveillance des zones de baignade sera assurée dès le 16 juin pour une dizaine de plages urbaines entre Saint-Georges-de-Didonne et les Mathes-La Palmyre. Elle se prolongera jusqu’au dimanche 2 septembre sur six plages de Royan, Saint-Georges-de-Didonne, Vaux-sur-Mer et Saint-Palais-sur-Mer.

La CGT appelle à un rassemblement en début d’après-midi devant l’établissement pour dénoncer le plan d’économie voulu par la direction pour résorber un déficit d’1,7 million d’euros. Des mesures seront prises dès le 26 mars. 25 postes d’infirmières et d’aides-soignants seront supprimés en cardiologie et médecine, selon le syndicat qui est en colère. Ecoutez Patrick Rousseau, secrétaire général du syndicat CGT du centre hospitalier de Royan :

Patrick Rousseau qui en appelle aux élus locaux pour agir. Un rassemblement est prévu à 13h30 sur le parvis de l’hôpital où les personnels se prononceront sur un dépôt de préavis de grève ou non.