Genouillé : il vit dans une voiture avec ses douze chats et son chien

La détresse d’un sans-abri qui vit dans une voiture à Genouillé, au sud de Surgères. André Robache a 55 ans. Il ne peut plus travailler, il est gravement malade et perçoit une aide de 818 euros par mois. De surcroît, il est interdit bancaire. Il a été expulsé de son logement il y a un an et demi, et s’est retrouvé à la rue sans ménagement. Depuis, il passe ses journées et ses nuits sur un parking. Problème aujourd’hui, la voiture dans laquelle il vit appartient à un ami qui va bientôt la récupérer, en raison d’une suspension de permis qui arrive à échéance. André Robache se retrouve dans une impasse, d’autant qu’il redoute d’être expulsé par la municipalité. On l’écoute :

Le maire Marc Duchez dément ces accusations, estimant avoir fait le nécessaire en lui ouvrant les vestiaires, et en lui proposant des repas qu’il a fini par refuser à la suite d’une altercation. Marc Duchez s’inscrit en faux :

Problème, gros problème même. André Robache ne veut pas se séparer de ses douze chats et son chien qui vivent avec lui dans la voiture :

Des animaux qui posent problème au voisinage selon le maire. André Robache lance aujourd’hui un appel au don pour s’acheter une nouvelle voiture, une caravane et trouver un terrain pour se poser. Vous pouvez le contacter au 06 41 06 41 21.

La colère d’un agriculteur irrigant de La Laigne

Alors que l’association Nature environnement 17 dénonce un assec sur le cours d’eau du Crépé qui traverse le village aunisien, dû à des opérations de pompage pour le remplissage d’une bassine, Thierry Boucard réagit vivement. Il affirme que l’an dernier la partie amont se trouvait dans la même situation, alors que les pompages n’avaient pas commencé. Thierry Boucard, par ailleurs président de l’ASAI des roches qui gère les réserves de substitution de La Laigne, La grève-sur-Mignon et Cran-Chabam, est à cran :

Thierry Boucard qui assure que les pompages et l’écoulement du Crépé, en partie aval, sont contrôlés en permanence par l’administration. Pour rappel, son association a été condamné l’été pour l’exploitation illégale de retenues de substitution pendant plus de 4 ans.

Rochefort : le collège Grimaux passe au photovoltaïque


Des panneaux solaires ont été installés sur la toiture de l’établissement. L’opération s’inscrit dans un plan global du Département, soit 5 millions d’euros de travaux tous les ans. On écoute Evelyne Ferrand, vice-présidente et présidente de la commission photovoltaïque :

Le montant de l’opération est de 228 000 euros pour 590 m2 environ de panneaux. La production sera de l’ordre de 120 000 kwh/an, ce qui correspond à 15 % de l’énergie utilisée par le collège. Un paramètre qui n’a pas échappé au principal Gilles Marfeuil, qui compte bien profiter de l’installation pour en faire un axe de développement pédagogique auprès de ses 596 élèves :

A noter que le raccordement final à Enedis devrait intervenir fin février.