La sénatrice-maire de Beauvais-sur-Matha, encartée Les Républicains, reconnaît l’action du président socialiste François Hollande qui a gracié dimanche dernier cette femme, condamnée pour le meurtre de son mari qui l’avait battue et violée durant 47 ans. « Il s’agit d’une décision juste et d’un signe fort envoyé aux femmes violentées et brutalisées par leurs conjoints », a déclaré Corinne Imbert qui fait partie des 82 parlementaires à avoir cosigné la pétition demandant la grâce présidentielle de Jacqueline Sauvage.