Leur licenciement a été annulé en justice hier au conseil des Prud’hommes de Saintes, en raison d’irrégularités dans le plan de sauvegarde de l’emploi. Mais les indemnités restent en deçà de leurs attentes. Entre 16 000 et 20 000 euros, alors qu’ils en voulaient quatre à cinq fois plus. Les 51 anciens salariés, qui avaient occupé leur usine pendant un an après la liquidation de l’entreprise en juillet 2013, envisagent de faire appel. Ils ont un mois.