Une démonstration a été assurée ce matin sur une ligne traversant le cœur historique de la cité. Fabriqué par Heuliez dans les Deux-Sèvres, le véhicule est silencieux et offre confort et qualitéLire la suite…
Un nouveau site de traitement des déchets issus du bâtiment à Saint-Jean-d’Angély
Il sera implanté à Fontorbe et devrait être opérationnel dans un peu plus d’un an. C’est l’entreprise Sec TP qui a été retenue pour l’implantation et l’exploitation du site qui recevra les déchets dits inertes et non dangereux pour l’environnement, Carole Effenberger :
A noter que, parallèlement, la déchetterie de Fontorbe sera relocalisée à l’arrière du karting. Ce qui permettra d’augmenter le nombre de filière de tri et de rendre le site plus accessible par le parc d’activité de la Grenoblerie 3.
La nouvelle vidéo choc de l’association L214 dans des élevages de lapins Orylag autour de Surgères
Mises en ligne hier, les images ont été tournées en septembre et novembre dans trois exploitations, notamment chez le président de la Coopérative des éleveurs d’Orylag à Vandré Jean Bouttaud. Mais aussi à l’INRA du Magneraud à Saint-Saturnin-du-Bois et au seul abattoir agréé à Dampierre-sur-Boutonne. L214 dénonce les mauvais traitements portés à ces animaux, dont la fourrure est utilisée dans l’industrie du luxe. Elle a porté plainte. On écoute son porte-parole Sébastien Arsac :
La vidéo montre également que les lapins Orylag sont exposés à de fortes doses d’antibiotiques. Sébastien Arsac :
L214 interpelle les marques de luxe Dior, Fendi ou Dolce & Gabbana, et les encourage à ne plus utiliser la fourrure Orylag, via une pétition mise en ligne sur internet. Contacté ce matin, l’INRA nous assure avoir engagé une mission d’inspection interne et s’exprimera à l’issue. Nous avons également tenté de joindre le président de la Coopérative des éleveurs d’Orylag pour l’instant très occupé avec cette affaire.
Un vote décisif pour 24 réserves de substitution en Vals de Saintonge
Il a lieu ce matin à Saint-Jean-d’Angély. La Commission locale de l’eau du Sage Boutonne doit valider le projet avant la fin de l’année, pour ensuite être soumis à enquête publique début 2018. Retoqué à deux reprises, car incomplet et pas assez collectif, il ne concerne que 60 irrigants sur les 1 600 exploitations agricoles que compte la bassin de la Boutonne. Toutefois, il a des chances cette fois d’être adopté dénonce Jean-Louis Demarcq, le président de SOS rivières et environnement. Un opposant qui va voter contre :
Le projet, qui s’étend entre Saint-Félix et Puy-du-Lac, concerne le stockage de 5 millions 800 000 mètres cubes d’eau destinés à l’irrigation agricole. Son coût est estimé à 35 millions d’euros, financés à 70% par des fonds publics. Jean-Louis Demarcq souhaite un vote à bulletin secret pour un vote sans pression.
Talmont : la Région va financer les travaux contre l’érosion
Enfin un espoir pour les falaises de Talmont-sur-Gironde. La Région Nouvelle-Aquitaine va finalement financer les travaux de consolidation de l’enrochement sur lequelle est situé le village menacé par l’érosion. Montant de l’investissement : 1 million 200 000 euros. Une somme que la municipalité ne pouvait pas supporter seule. Le Conseil régional, qui avait un temps rejeté le dossier, vient d’annoncer son accord de financement. Un immense soulagement pour le maire Stéphane Loth :
La solution préconisée par Stephane Loth consisterait à poser un enrochement naturel avec des blocs calcaires. Il s’agit pour le maire du seul scénario vraiment pérenne. Les travaux pourraient débuter en 2018. Talmont qui fait d’ailleurs partie d’un plan départemental contre l’érosion à 20 millions d’euros qui a été présenté hier en Conseil départemental.
La fréquentation touristique en hausse en Nouvelle-Aquitaine
Cette année, la Région a enregistré 41 millions de nuitées entre les mois d’avril et de septembre. Soit une hausse de 2,1% par rapport à 2016. Ce qui place la Nouvelle-Aquitaine surLire la suite…
