LA ROCHELLE-RÉ

#ScèneOuverte le 06/11/15 avec le groupe Bohémia de La Rochelle et Juulie Rousseau de Québec pour la promo de leur concert le 7 novembre à Saint-Jean-d’Angély

Bohemia et Juulie ROUSSEAU (1) - Copie

Le groupe rochelais Bohémia et la Québécoise Juulie Rousseau se produiront le 7 novembre à Saint-Jean-d’Angély. (photo Stéphane Couzinet)

Bohémia
Sous le nom de Bohémia se cache un groupe de jazz manouche teinté de musique du voyage. Ce quatuor rochelais, qui séduit tant par l’âme sensible que par le côté énergique de ses guitares, livre au creux de l’oreille une évasion musicale. Leur univers résonne au son des cordes de leurs instruments. Bohémia nous concocte une mixture fraîche et artisanale pour un rendu acoustique festif, vivant, mélodieux où l’envie et le sourire se partagent devant la scène. Bohémia c’est une histoire de famille, Michael LAFON (guitare/mandoline) voulait partager avec son père Patrick LAFON (guitare rythmique) la scène musicale en 2007. Après deux années de succès, naît en 2009 la rencontre de Michael et de Marjorie (guitare rythmique). C’est avec une énergie débordante qu’ils décident de se produire sur quelques scènes aux USA (Rochester, Syracuse) en faisant un jumelage avec Geoffrey SANDERS, contrebassiste américain, qui viendra partager quelques scènes françaises durant l’été 2010. Ils participent à différentes classes du lycée (high school) de Rochester pour faire découvrir leur musique. Suite à ce périple, ils se lancent dans l’enregistrement d’un premier album intitulé « air’ du voyage », dans les bacs depuis 2011. Ils continuent d’enchaîner les concerts et commencent à exporter leur musique dans différentes régions de France (Poitou-Charentes, Limousin, Pays de la Loire, Bourgogne…).

En avril 2012, Michael et Marjorie sont sollicités pour revenir jouer aux USA, accompagné de Ben THOMAS, un autre contrebassiste américain issu de l’école Eastman de Rochester, NY.

http://www.compagnie-bohemia.com/
https://www.facebook.com/bohemia.bohemia.984/

Juulie ROUSSEAU
Auteure, compositrice et interprète, Juulie Rousseau est initiée très tôt à la musique. Après de nombreuses écoles de musique, elle étudie la guitare classique au niveau collégial et le chant jazz à l’université. En 2010, à l’âge de 18 ans, elle est lauréate au concours de Petite Vallée en Chanson dans la catégorie composition. Durant cette même année, elle lance un premier album intitulé Comme le monde.
Ce qui distingue la musicienne est sans doute sa démarche artistique unique. Déjà toute petite, Juulie composait des chants en langue inventée et aimait dire qu’elle pouvait chanter dans toutes les langues du monde. Après ses études, cette dernière a entrepris de donner forme à son rêve : créer une musique multilinguistique aux frontières des cultures.
Récipiendaire de deux bourses des Offices Jeunesses du Québec, la jeune globe-trotter entreprend de nombreux voyages d’inspiration et de composition musicale. C’est principalement en Mongolie, en Inde, en Turquie et en Iran qu’elle crée de riches rencontres musicales et humaines. Elle apprend constamment de nouvelles techniques vocales et de nouvelles langues qui façonnent sa vision artistique et enrichissent ses compositions.
Son talent et son unicité attirent l’attention. En spectacle, Juulie se révèle être une interprète accomplie : professionnelle, sensible, naturelle. En 2011, elle est invitée par l’artiste Chloé Sainte-Marie à la soirée hommage de la poétesse Joséphine Bacon où elle interprète une pièce en langue innue. Elle chante aussi en attikamek sur le projet Manawan où elle est invitée par l’organisme Peace Partner. Elle fait deux fois la première partie de Jorane, au Pavillon des Arts de Coaticook et au Théâtre Le Petit Champlain à Québec.
Avec l’aide d’une bourse de MusicAction, Juulie produit un deuxième album, Landscape, qui est lancé le 17 novembre 2014 au Palais Montcalm à Québec. Fruit de trois ans de travail, de recherche et d’efforts, Landscape a été enregistré en partie en Mongolie et au Québec. Mariant sa passion pour l’enseignement, la musique et les voyages, Juulie verse 1$ par album vendu à l’orphelinat Lotus* en Mongolie, où elle a enseigné, afin d’assurer l’éducation musicale des enfants.
Tout au long de sa carrière, Juulie désire continuer à susciter des collaborations musicales de tous les horizons. Le prochain projet d’album dans lequel elle s’engage déjà est inspiré d’un voyage en Iran. Récipiendaire d’une bourse du Conseil des Arts et Lettre du Québec, Juulie étudie présentement la musique perse.
Au-delà du souhait d’avoir une carrière internationale, le rêve profond de l’artiste est de créer des collaborations entre diverses nations, de faire tomber des frontières. Par sa plume résolument positive, Juulie convie au voyage ; d’abord en soi, et dans toutes les cultures modelées par l’humanité.

http://www.juulierousseau.com/#!bio/c21jb
https://www.facebook.com/juuliemusique/