Du changement pour l’obtention de la carte grise et du permis de conduire

A partir du 6 novembre, il sera possible d’effectuer ses démarches en ligne via le site de l’Agence nationale des titres sécurisés ants.gouv.fr. Une petite révolution numérique qui va permettre aux usagers d’éviter les déplacements en préfecture ou de faire appel à une agence d’immatriculation, pour ce qui est de la carte grise. Plus de précisions avec Pierre-Emmanuel Portheret, secrétaire général de la préfecture de la Charente-Maritime :

Et inutile de se déplacer pour récupérer les titres. Ils seront directement envoyés au domicile du demandeur. Pour en savoir plus, un serveur vocal a été mis en service, via le numéro national unique : le 34 00.

La fin de l’enquête publique concernant le nouvel incinérateur d’Echillais approche

Il reste moins d’une semaine pour s’exprimer. A partir de lundi prochain, le commissaire enquêteur Jean-Pierre Bordron aura un mois pour rendre son avis au préfet, qui pourra alors autoriser ou non l’exploitation de l’équipement dont la construction vient de s’achever. L’association Pays rochefortais alert’, qui s’est exprimé vendredi dernier, a pour sa part émis un avis très défavorable, en insistant sur le risque sismique qui n’a pas été pris en compte par le constructeur Vinci. On écoute son porte-parole Jean-Claude Deborde :

En cas d’avis favorable du commissaire enquêteur, et lorsque l’incinérateur entrera en service, PRA menace de nouveau de saisir le tribunal administratif de Poitiers, mais aussi le Tribunal de grande instance de La Rochelle pour mise en danger de la vie d’autrui. Car, selon PRA, l’incinérateur d’Echillais ne respecte pas la loi :

Jean-Claude Deborde qui invite la population à s’exprimer dans le cadre de cette enquête publique, en envoyant un mail à la préfecture de la Charente-Maritime, ou en écrivant à la mairie d’Echillais, en précisant à l’attention du commissaire enquêteur. L’enquête a déjà recensé plus de 450 avis.

Et le 14 novembre prochain, la cour d’appel de Bordeaux examinera l’annulation de l’autorisation d’exploiter, décidée en mars dernier par le tribunal administratif de Poitiers. Jugement qui a conduit à cette nouvelle enquête publique.