Deux pompiers blessés cette nuit à Tonnay-Charente, lors d’un feu de camping-car. Ils étaient une trentaine à combattre un incendie qui s’était déclaré dans le véhicule, stationné au 6 rue des hêtres.Lire la suite…
Une première nationale dans le recyclage des bio-déchets à Gémozac
L’expérience va démarrer le 20 avril. 200 foyers en cours de recrutement vont tester la double collecte, à la fois des déchets ménagers non-recyclables, et des bio-déchets. Un projet novateur, motivé par la loi de transition énergétique sur le tri des déchets à la source qui entrera en vigueur en 2025. Le syndicat mixte Cyclad, qui est déjà en train d’expérimenter l’équivalent auprès d’un panel de restaurateurs à Surgères, est en charge du projet. On écoute Brigitte Daudens, chargée de mission :
Economique en effet. C’est ce que nous dit Gaëlle Merle, responsable de la communication à Cyclad :
Des bacs bi-compartimentés permettant le tri des déchets non-recyclables et des bio-déchets vont être distribués aux foyers concernés. Ils ont été conçus par le groupe Brangeon Environnement. Manuel Limousin, son responsable commercial, nous en dit plus sur cette petite révolution :
Yves Massiac, vice-président de la Communauté de communes de Gémozac, se montre particulièrement enthousiaste :
Plus de 50 foyers de Gémozac se sont portés volontaires. La première collecte aura lieu le 27 avril. La fin du test est prévue fin août. En cas de succès, la généralisation des nouveaux bacs pourrait se faire courant 2019 sur les seize communes des CdC de Gémozac et de Saint-Porchaire.
Le projet de 24 bassines sur le bassin de la Boutonne fait débat
Alors qu’une commission d’enquête est en cours et se termine le 16 mars, plusieurs associations d’opposants aux réserves d’eau pour l’irrigation agricole organisent à partir d’aujourd’hui une série de trois réunions publiquesLire la suite…
Les travaux lancés au parking du château à Surgères
Le périmètre de la première étape des travaux a été délimité. Entre l’Office national des aînés et le pont-levis. L’objectif est de réaliser en premier lieu le chemin piétonnier vers la bibliothèque, dont le temps de séchage sera long : un mois. Ensuite, il sera question de concevoir le chemin qui mène au pont-levis. Là encore avec un temps de séchage d’un mois. Et entre-temps, l’aménagement des nouveaux parkings. Deux mois et demi de travaux sont prévus, durant lesquels le stationnement sera perturbé. De quoi impacter fortement l’activité commerciale du centre-ville, comme le remarque le président de l’Union des commerçants de Surgères Alexandre Lachaumette :
La 3e phase qui est prévue en 2019, le long de l’avenue Saint-Pierre. A noter que l’Union des commerçants va mettre en place un système de navette en mini-bus gratuit tous les samedis matins, entre l’espace Georges-Pomidou et le centre-ville, partir du samedi 17 mars. Le temps de la réalisationd es travaux.
Holiday on ice avec Brian Joubert débarque à La Rochelle
C’est la tête d’affiche du nouveau spectacle sur glace. Le patineur poitevin se produira ce soir et demain au parc des expositions, en compagnie de sa partenaire de l’émission Danse avec lesLire la suite…
Genouillé : la galère continue pour André Robache
Souvenez-vous, le mois dernier nous vous parlions de ce sans-abri de 55 ans qui vit dans une voiture sur un parking de Genouillé, avec ses douze chats et chien. Son appel à l’aide pour se loger avait été largement relayé dans les médias locaux. Et grâce à un élan de solidarité, il avait réussi à récupérer une caravane, et un propriétaire de Vandré avait accepté de lui prêter un terrain. Mais il a dû y renoncer, sur ordre de la mairie et de la gendarmerie, sans explication. Retour à la case départ donc aujourd’hui pour André Robache qui est reparti s’installer à Genouillé. Seulement, il est de nouveau sommé de quitter les lieux. On l’écoute :
Et pour aider André Robache, vous pouvez le joindre au 06 41 06 41 21.