Des traces de légionelles et de cyanobactéries dans les réserves de substitution agricoles de la région. C’est ce que dénonce le collectif Bassines non merci qui a fait analyser l’eau de trois bassines prélevée en octobre. Celles de La Laigne en Charente-Maritime, d’Oulmes-Saint-Pierre en Vendée et de Lusseray dans les deux-Sèvres. Et les résultats sont inquiétants pour la santé humaine et animale. On écoute Jean-Jacques Guillet, l’un des porte-parole du collectif :
Les analyses de Bassines non merci ont été remises hier matin au directeur de l’Agence régionale de santé qui avait émis un avis défavorable au projet de création de 16 réserves de substitution autour du Marais poitevin. Mais aussi à la préfète qui, elle, a signé le protocole d’accord il y a pratiquement un an.