La direction du site les invite à faire le point sur le rapprochement entre l’industriel français et son concurrent allemand Siemens. Un protocole d’accord a été signé hier, et ce dernier devrait prendre le contrôle de ce nouveau géant du train, même si le capital sera divisé à 50/50. Des engagements ont été pris sur quatre ans, avec des garanties sur l’emploi et la pérennité des sites. Mais pas de quoi rassurer les salariés d’Alstom Aytré qui restent inquiets. Le syndicat Force ouvrière entend bien éclaircir certains points.