Comme tous les départements de France, la Charente-Maritime est confrontée à l’obligation de prendre en charge des mineurs étrangers non accompagnés, au titre de la protection de l’enfance. Ils sont pour la plupart originaire d’Afrique noire. S’ils étaient une quinzaine il y a quatre ans, ils sont aujourd’hui 200. Une tendance en hausse constante. A tel point que le département est arrivé à ses limites de capacité d’accueil et doit donc trouver de nouvelles solutions d’hébergement pour ces mineurs scolarisés ou en apprentissage. On écoute Corinne Imbert, vice-présidente du Conseil départemental :