Les salariés de Beau Breuil, filiale de l’entreprise de télévente rachetée par Bruno Becquet, devront donc attendre encore une semaine pour savoir s’ils seront ou non licenciés. Le PDG demande en effet la liquidation des sites de Beaulieu à Puilboreau et Breuil-Magné qu’il a repris il y a à peine deux mois. Ils sont en cessation de paiement depuis début mai. Une soixantaine de salariées sont menacées.