Rédaction

#ScèneOuverte du 09/03/18 avec le groupe Rock revival de Poitiers

Scène ouverte avec « Le groupe Rock revival » de Poitiers (86).

C’est un « cover-band » (chant, guitares, basse, batterie) qui propose un programme très diversifié où l’on retrouve des noms célèbres – Beatles, Rolling Stones, Who, Eric Clapton, Pink Floyd,… – et d’autres moins connus (John Hiatt, Canned Heat, King Crimson…).

Michel FOUQUES : guitares leads, chant
Michel LANDAIS : guitares basses, chant
Jean-Michel PIGNON : chant lead, guitares
Frédéric TOURNADE : Batterie, percussions

http://www.rockrevival.rocks/

https://www.facebook.com/rockrevival86/

Osez le féminisme 17 se mobilise demain à La Rochelle

C’est demain la Journée internationale des droits des femmes. A cette occasion, Osez le féminisme 17 se mobilise. L’association organise une grande déambulation dans les rues de La Rochelle pour combattre les idées sexistes et les violences faites aux femmes, mais aussi les inégalités qui persistent entre les deux sexes. Cette année, la mobilisation prendra une dimension particulière, après l’affaire Weinstein et les nombreuses révélations qui ont suivi, favorisant la libération de la parole des femmes. On écoute Sophie Burlier, porte-parole d’Osez le féminisme 17 :

La manifestation partira de la place de Verdun à 16h, direction la Grosse horloge à 17h30 et la rue Saint-Nicolas à 19h. Les passants seront invités à tourner la grande roue des inégalités femmes/hommes et à rebaptiser quelques noms rues avec des noms de femmes célèbres.

Moragne : elle se retisse un avenir après un cancer du sein


Elle créé sa propre ligne de vêtements pour se reconstruire après l’ablation d’un sein. Catherine Priano-Aldridge, 55 ans, vit à Moragne, entre Tonnay-Charente et Tonnay-Boutonne. Et il y a deux ans, elle a été victime d’un cancer du sein, l’obligeant à subir une mammectomie. Une souffrance qu’elle a finalement réussi à surmonter. Elle nous raconte :

Catherine Priano-Aldridge a bien essayé de porter une prothèse, sans succès nous dit-elle :

Sa ligne de vêtements (tuniques, robes et hauts) trouve son originalité dans le fait qu’elle rétablit un certain équilibre corporel et visuel. Double avantage, elle dissimule aussi les petites rondeurs. La production devrait démarrer courant avril. Pour découvrir les créations de Catherine Priano-Aldridge, rendez-vous au Salon du mieux être qu’elle organise dimanche prochain à la salle des fêtes de Moragne, de 10h à 18h.

L’agriculteur Benoît Biteau raconte dans « Paysan résistant ! » son engagement

C’est un livre qui fait beaucoup parler en ce moment. Celui de l’agriculteur bio et conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine Benoît Biteau. Avec « Paysan résistant ! », qui vient d’être publié aux éditions Fayard, l’auteur militant raconte comment il a tourné le dos à une agriculture intensive pour un modèle plus vertueux et plus respectueux de l’environnement. Un concept basé sur l’autonomie et le libre arbitre qui séduit de plus en plus d’exploitants. Benoît Biteau :

Une autonomie de décision qui a permis à Benoît Biteau de redresser l’exploitation familiale, située à Sablonceaux, en se tournant vers des races rustiques et en replantant des arbres à partir de semences anciennes. « Paysan résistant ! » est disponible en librairie depuis le 18 février.

Petit port de Seynes à Marennes : le maire veut des réponses sur le fond de l’affaire

L’affaire de la dépollution du Petit port des Seynes à Marennes de retour devant le Conseil d’Etat ? Le conseil municipal devrait autoriser ce soir le maire Mickaël Vallet à se pourvoir en cassation contre l’arrêt de la Cour administrative d’appel de Bordeaux du 31 octobre dernier, qui n’a pas retenu le moyen tendant à engager la responsabilité de l’Etat. Désormais, le maire demande à la justice de se prononcer sur le fond de l’affaire, alors que la Ville a été systématiquement déboutée sur la forme. A savoir s’il y a prescription trentenaire, et si oui ou non le pollueur identifié par le rapport d’expertise judiciaire qu’est la compagnie Saint-Gobain, fabricant de produits chimiques, doit se voir enjoint par l’Etat. Car les sommes en jeu sont conséquentes. Mickaël Vallet :

Le Conseil d’Etat qui reste la dernière instance pour clore ce contentieux.